1 tes. Mais la musique est si légère, la voix de la jeune fille si transparente : la mort même en devient moins brutale. Elle rôde ic

2 … Oh ! qu’il y ait eu cette joie par un regard de jeune fille  ! Tout peut encore être sauvé… Un accord brusque de rumeurs à travers

3 livré à la violence immobile de son âme… Mais les jeunes filles sont parfois trop émouvantes pour qu’on ose les embrasser. — Je tenai

4 l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici dans sa vie cette

5 rées d’ombre ? » Et l’on me répondait : « Ici, la jeune fille Aurore a surpris la licorne pure… » (Je croyais voir un éclair blanc

6 de résister. 22 juin 1929 Rencontre avec la jeune fille tzigane. Le dirai-je ici comme un rêve ? ou comme quelque chose de bi

7 airait à longs traits nos visages. Je reconnus la jeune fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La lumière délirait doucement,

8 ns la forêt, de chasseur à la redingote verte, de jeunes filles qui jouent du violon dans les champs de myrtille et d’impératrices qu

9 is cette fois c’est une fée qui monte, une grande jeune fille nette aux yeux bleu-vert, au teint de princesse d’Andersen. Oh ! qu’e

10 x ouvrières laides, sans méfiance, — ou bien à la jeune fille , sans fausse honte. Si j’étais vraiment libre, je lui parlerais très

11 en être là, puisqu’en ma voisine, je reconnais la Jeune fille de neige. On la sent prête à fondre de tendresse au premier regard. M